QUAND BRUXELLES BRUSSELAIT – IXELLES


IXELLES suite & fin !

UN CLIC ICI : POUR ACCEDER  A L ALBUM DEDIE A IXELLES

Mais suite bientôt ailleurs !

Restons à la rue Defacqz et arrêtons au n° 71 – maison personnelle de Paul Hankar – architecte – (voir article précédent). Elle date de 1893 et sa façade a été restaurée en 1995 par Marc Henricot.

rue Defacqz  ixelles  (16)

Nous sommes devant une œuvre géniale de Paul Hankar où verticalité et courbes se mélangent, se marient de façon tout à fait harmonieuse. Les sgraffites signés Adolphe Crespin sont d’un style raffiné . Nous y trouvons un tigre du Bengale , rarement vu dans les sgraffites. Si l’on s’attarde devant cette belle maison, on constatera que l’art oriental , dans les sujets présentés sont dominants. ( A admirer dans l’album-photos cité plus haut ; un clic sur le lien bleu et vous y êtes ! )

° ° ° ° °

Pour exécuter les sgraffites, les tracés ,expliqués dans un de mes billets, ne suffisent pas ! Encore faut-il choisir la méthode de peinture !

La peinture à fresco – La peinture A secco et mi-secco – et la  peinture à tempera !

 

Je ne peux, ici, vous détailler ces différentes méthodes … Mais je parie que ceux qui en ont envie iront sur des « moteurs de recherche » et trouveront réponses à leurs questionnements.

QUAND BRUXELLES BRUSSELAIT à IXELLES …


Après avoir bu un pot, bien mérité, à la Porteuse d’eau nous continuons notre périple à la recherche des sgraffites… Mais comme, je n’aime pas trop rester dans un coin, je délaisse un peu Saint-Gilles… Mais soyez sans crainte ! Nous y reviendrons …

ALLEZ, je vous invite aux 12 travaux d’Hercule !

Au fait, les connaissez-vous ???

J’attends vos réponses !

Bon passons aux choses sérieuses et arrêtons-nous

à la rue Defacqz, au n° 48(mon coup de cœur d’Ixelles)

Hôtel Ciamberlani de 1897 – Architecte Paul Hankar – Sgraffites Projets d’Albert Ciamberlani.

Enfin restauré, nous pouvons admirer l’Art Nouveau dans toute sa beauté ! Voyez ! Avez-vous remarqué avec quelle finesse et ingéniosité l’architecte plie le bois, le courbe et y intègre les verrières ? (Je suis restée « scotchée » devant cet immeuble durant … Oh, j’ose pas vous le dire !!! (plus de 40 photos faites!!!) Mais rassurez-vous ,je ne vous les mettrai pas toutes (pour cela il faudra aller sur l’album-photos).

Regardez, admirez ces médaillons réalisés comme des tableaux dans lesquels on peut reconnaître La Force – l’endurance et le courage …

Mais aussi, arrêtons-nous sur la façade, percée de 2 baies au linteau arrondi, ornée de vastes sgraffites  :

« Un jeune homme se penche sur l’enfant (dans le bas, au milieu), un jeune couple avec l’enfant occupe l’angle de droite et à gauche, on peut apercevoir la silhouette d’un vieillard nu, tenant un bâton dans la main, qui tourne dos au reste de la scène. Ce sont les âges de la vie qui sont ainsi mis en parallèle, avec l’arbre de vie » (L’art dans la rue. Les sgraffites).

Je vais vous laisser respirer un peu … Je reviendrai sur le sujet dans le courant de la semaine prochaine ! Bien de bonnes choses à vous tous et toutes … Que votre vie soit belle !

QUAND BRUXELLES BRUSSELAIT suite 1


Vous avez dit sgraffites ?

La technique & la pratique

Vous superposez 2 couches d’enduit de couleurs différentes.

Le 1ère, foncée, constituera la couche de fond .

La 2ème sera claire et formera la couche superficielle.

Dès l’application du dernier enduit , le dessin sera méticuleusement incisé dans celui-ci et révélera la 1ère couche foncée.

L’art du sgraffite exige que le dessin soit incisé dans le frais des 2 enduits, ce qui exige une exécution rapide.

En effet, après la carbonisation de l’enduit de surface, aucune incision n’est rendue possible.

SAINT-GILLES : Place Eugène Morichar n° 10

Cette maison date de 1900 – sgraffites non attribués. 

Voilà je vous laisse avec ces photos … jusqu’à demain  ! Bisous à mes ami(e)s fidèles de longue date

 

A

QUAND BRUXELLES BRUSSELAIT !


Vous souvenez-vous du dernier thème

d’un certain concours photos ???

Oh c’est si loin déjà que vous avez certainement oublié !!!

Moi pas , j’avais en son temps « promis »

à Envoyé Space et à d’autres ami(e)s

de mettre un album sur les sgraffites, suscités par l’Art Nouveau,

présents sur les façades de Bruxelles.

Au jour le jour, je vous présenterai une maison

qui aura retenu mon attention ..

Avec peu de commentaires …

SAINT-GILLES : Rue de Parme n° 26

Maison construite en 1897 par l’architecte Fernand Symons

Les sgraffites son d’Adolphe Crespin .

Cette maison était, à l’origine un laboratoire photographique (c’est sans doute pour cela que je commence par elle (loll).

Le visage est auréolé des pétales de tournesols symbole de l’astre du jour !

L ‘inscription grecque signifie : Lumière !

A demain si vous en avez envie !